18 réponses à ce sujet

[wotaniste]

la mort n'existe pas
la mort est morte

[Pat]

En ce moment, nous "sommes", c'est alors normal de ne pas concevoir le "non etre", c'est même impossible et très angoissant. C'est donc de la que prend racine toutes croyances possibles en quelques chose, on essait avec l'énergie du désespoir de combler ce vide inéluctable, avec cette faculté exceptionnelle que l'on appelle "l'imagination".
La seule phrase qui a pu soulager cette angoisse presque qu'invivable a été cette phrase de Lao tseu "pourquoi aurai-je peur de ce qui est commun a tous les hommes"
Alors s'il y a effectivement quelques chose après la mort, tant mieux. Je le vivrai en temps et lieux. Sinon, ce n'est pas bien grave en fin de compte, je ne pourrai plus m'en inquiéter parce que je n'existerai plus.

[Totem]

Après la vie, il n'y a pas la mort , mais il y a la vie, c'est juste l'enveloppe qui meurt mais la conscience demeure, elle fait partie du tout. L'illumination justement m'a fait comprendre cela, on n'est qu'une conscience dans l'univers où baigne un amour indiscible, il n'y a pas de mot assez fort pour exprimer cela, bon je ne connaîs  le "apres" puisque je suis revenue dans mon corps.

Voici un extrait d'un article dont vous je mets le lien : http://forum.astrals...rt/page__st__15


Ce jeune patient, un jour qu'il réparait une antenne sur un toit, saisit un câble, mais ce câble était sous tension, 12.000 volts. Il fut immédiatement électrocuté. Le mécanisme mortel dans ce cas, c'est une fibrillation ventriculaire, un événement électrique au sein du coeur.

Il tomba du toit d'une hauteur de quatre mètres cinquante et par chance, le choc se produisit juste à l'endroit de la poitrine et avec la direction et la force requises pour provoquer une défibrillation et le redémarrage du coeur. Ainsi, c’est comme si Dieu l'avait appelé puis avait changé d'idée. Alors je lui demande : « Bob, qu'est-ce qui s'est passé ? »
Il répond : « Je suis tombé dans le vide. » Je demande : « Qu' y avait-il dans le vide ? » Il répond : « Il y avait une joie pure et illimitée. C'était une félicité totale, absolue. » Je lui demande : « Y avait-il des pensées ? » « Non, je n'avais pas d'esprit. » « Aviez-vous un corps ? » « Non, je n'avais pas de corps. » « Alors, qu'est-ce qu'il y avait ? » Il dit : « J'étais juste conscient. » Vous lui demandez : « De quoi étiez-vous conscient ? » « J'étais conscient que j'étais conscient, mais c'était du pur éveil. J'étais totalement et complètement impliqué dans l'expérimentation de mon immortalité. »

[Alice]

Mon père était athée mais un peu avant de mourir il m'a dit qu'il allait partir en voyage. Dans le fond la vie n'est qu'une escale avant le départ vers une autre destination.